Brèves de novembre
L’amour c’est comme le vélo, il ne faut jamais cesser de pédaler pour garder l’équilibre.
L’amour c’est comme le vélo, il ne faut jamais cesser de pédaler pour garder l’équilibre.
Il ne faut jamais désespérer… certes mais mieux vaut également ne pas trop espérer ! Un tien vaut mieux que deux tu l’auras. Oui mais un tien vaut surtout mieux que rien du tout ! Bien mal acquis ne profite jamais…. ce qui est sur c’est qu’un bien pas acquis ne …
(Cette nouvelle n’a été qu’un exercice d’écriture avec un incipit et un excipit imposés que sont les phrases en italiques. Elle ne sera jamais jamais publiée ailleurs qu’ici. Une exclusivité pour paroles vagabondes ! ) Il est apparu un jour de gel un peu sec, à la tombée du soir. Aucun …
– Bonjour Papy.
Elle se précipite dans mes bras. Un large sourire illumine son visage. Je la soulève.
– – Tu as encore grandi.
– – Dis Papy, on va voir les canards,
Un coup de cœur pour ce film de 2018, désormais visible en VOD. Jubilatoire avec des acteurs qui s’amusent.
Coup de cœur d’abord pour un film que j’ai adoré: Le miracle du saint Inconnu
Une petite merveille. Comme je ne saurais mieux dire voici 2 critiques de spécialistes.
“Cette comédie marocaine séduit par son ton pince-sans-rire, ses gags muets rappelant parfois Chaplin ou Tati.”
Premiers jours de septembre.
Comme chaque matin un octogénaire fait lentement son footing à petits pas devant ma fenêtre. Gagne-t-il ainsi quelques minutes supplémentaires de vie ?
Vers midi, sur la plage, trois couples de retraités sont installés dans des fauteuils pliants et discutent tranquillement de leurs petits-enfants. Contents de les avoir vus, soulagés qu’ils soient repartis. Une dame rondouillarde fait consciencieusement les cent pas dans la mer, de l’eau jusqu’aux cuisses, pour combattre sa cellulite. Les batailles les plus désespérées ne sont-elles pas les plus belles ?
Il était une fois un couple bourgeois, Charles et Joséphine Verrault, qui avait trois filles : Anastese et Javotte, grosses, moches comme leur mère et coléreuses (il faut avouer que de porter de tels prénoms, surtout à notre époque, a de quoi vous rendre de mauvaise humeur à vie !) et Cendrilla *