Un écrivaillon qui, malgré son âge, n’a encore (?) publié que trois ouvrages, se refusant, pour l’instant ? à proposer le quatrième.
Chacun d’un genre très différent, pour le plaisir de m’ essayer à chacun tout simplement.
Quand mes idées me grattent trop, je me soulage en les posant avec des mots,
parfois sur ce blog les publiant, ce qui peut paraître impudent,
mais je suis trop vieux pour ne pas oser et pas encore assez pour y renoncer.
A y lire aussi vos écrits, je me réjouis, car vous les aurez soigneusement bien polis,
car vos vagabondages valent au moins bien les miens.
Un homme qui écrit n’est jamais seul. Paul Valery.
Si le blog est, comme moi, suranné, il demeure dans le temps quand les Facebook et compagnie se plaisent dans l’instant, peut se présenter de mille façons et se laisser façonner soigneusement sans s’échapper d’un « enter » maladroit. Tant pis si je dois être un jour le dernier blogger, moi-même démodé !