Nasreddin Hodja

Ce qu’il en coûte d’apprendre

 » Il y a profit à apprendre quelque chose de nouveau « , se dit Nasreddin Hodja. Il va trouver un maître de musique : — Je veux apprendre à jouer du luth. Combien cela me coûtera-t-il ? — Pour le premier mois, trois pièces d’argent. Ensuite, une pièce d’argent par mois. — Parfait ! Je commencerai le deuxième mois. retour accueil

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La belle-mère d’Hodja

La belle-mère de Nasreddin Hodja, grincheuse, curieuse, avait de surcroît l’esprit de contradiction. Un jour qu’elle lavait du linge à la rivière, elle tomba à l’eau et disparut. Les témoins se précipitèrent chez Nasreddin : — Ta belle-mère s’est noyée, on ne la retrouve pas ! Il courut à la rivière et commença à remonter à contre-courant. Etonnés, les gens lui dirent : — Où vas-tu ? Les eaux coulent vers le bas, tu te trompes ! Tranquillement Nasreddin répliqua : — On voit bien que vous ne la connaissez pas ! Quand elle était vivante, elle faisait le contraire de ce que tout le monde aurait fait logiquement !

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Enseigner la réalité

Les élèves interrogent Nasreddin Hodja, leur instituteur : – Maître, quel homme a plus de valeur ? Celui qui conquiert un empire par la force, celui qui peut le conquérir, mais qui se l’interdit ou celui qui empêche un autre de s’emparer d’un tel empire ? Perplexe, Hodja répond : — Je n’en sais rien. Mais je sais quelle est la tâche la plus difficile au monde. — Laquelle ? demandent les élèves. — Vous apprendre à voir les choses comme elles sont réellement. hnasreddinhodja.

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