J‘écris l’intimité de l’absolu, ce risque. Aimer triomphe de tout. Il gomme les peurs, les laideurs, les doutes. Il ouvre la dimension généreuse et noble. Son insolente nudité, son impudente vérité désagrègent les jugements, les pudeurs, les convenances, les codes. Il redonne à l’essentiel sa place originelle. Enfants perdus dans les univers, aimer pulvérise nos fatras hétéroclites, nos lâchetés, nos certitudes. Il libère. Il accompagne. Il éclaire. Aimer est mon frère de parcours.
Content de retrouver Paroles vagabondes.
« Aimer » (l’intimité de l’absolu, ce risque.) m’a touché au coeur.
Un grand merci Pierre B. d’avoir relayé mon texte sur votre site, et merci à Barba pour son commentaire sympathique. Ile E.