Si chaque jour je profite de de ce que je peux encore faire, qui n’est déjà plus ce que je pouvais hier, l’idée que je ne le pourrai plus demain m’oppresse en permanence. A l’inévitable, il paraît qu’il faut se résigner, mais quel verbe affreux, déjà en lui-même déprimant, et que je n’accepterai qu’à mon dernier jour. Enfin … peut-être !
Autre noumène : Aucun souvenir