amour

le quatrième chapitre le plus court

chapitre précédent Elle – Tu n’as pas fait une telle traversée simplement pour me voir ! Il – Peut-être que si. Pour enfin comprendre. Elle –  Nous avions 20 ans. Il– Une histoire d’amour ne meurt jamais. Elle– Mes parents voulaient que j’épouse un polytechnicien. Mon ex-mari l’était, pas toi. Ton seul tort. Voilà. Il– Je t’aimais. M’aimais-tu ? Elle– Qu’importe aujourd’hui. Il– Tu ne me répondras donc pas ? Elle– Nous aimer, nous le pouvons encore. Il– Le passé se comprend, s’accepte ou pas, mais jamais ne se reprend. Elle – Alors, pourquoi es-tu venu ? Il– Je te le dis : pour savoir enfin si tu m’aimais vraiment. Elle– Pour changer quoi aujourd’hui ? Il- Faire mon deuil

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Dans les draps gris d’un après-midi.

(Humeur)… car, lorsque celui-ci m’a connue, je n’étais rien et n’avais rien, même plus le sommeil ni l’appétit, ni non plus l’envie de vivre, et bientôt plus de toit. Celui-ci m’a aimée avec ce rien que j’étais et que j’avais, il m’a soignée et il m’a sauvée. Et celui-là, quand il m’a connue, je n’étais pas grand-chose et n’avais pas grand-chose, à peine le sommeil et si peu le goût de vivre, et il m’a aimée avec ce peu que j’étais et que j’avais. Il m’a sauvée, et il a donné à ma vie le sens qu’elle n’avait pas qui me fait me lever matin. Un troisième m’a rêvée et, comme beaucoup avant lui, car ils sont innombrables, n’a pas

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