boutique décrite dans « L’Amporelle » « Sur le fil » J’ai toujours été fasciné par ces gens qui disparaissent soudainement un jour pour construire une autre vie ailleurs avec d’autres personnes, une autre histoire. Parfois ils cherchent à effacer une erreur ou à se donner une seconde chance mais il arrive aussi que ce soit moins simple. C’est ainsi que dans « L’Amporelle » (‘Sur le fil’ )Jean-Pierre dit « Je veux faire de mon existence non pas un état mais une pulsation ». Sans doute exprime -t-il un besoin permanent de nouveauté, voir de risque. Plusieurs amis m’ont reproché de faire mourir Jean-Pierre . Il est vrai que j’avais imaginé d’abord une autre fin plus style comédie sentimentale à cette nouvelle: il partait encore pour une
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