Le dernier chapitre est souvent le plus important ; non seulement par sa position, mais surtout parce qu’il est la chute. Une bonne chute se relie au début. Celle à laquelle je pense sera-t-elle brutale ou en douceur, je l’ignore encore car elle ne dépend pas de moi. C’est une histoire que je ne maîtrise absolument pas bien que je pourrais m’en croire l’auteur pour en avoir écrit quelques lignes. La seule certitude c’est qu’il n’y aura pas de saison 2. La page finale apportera-t-elle un sens à l’ensemble ? Non. D’ailleurs, peu de vies en ont un et la mort ne leur en fournit pas plus ; reste que la perspective de ne plus exister soit chagrinante, ce qui est différent. Je ne vois donc pas de plus réjouissante alternative que de continuer à écrire en me donnant l’impression de retarder ainsi la rédaction de la quatrième de couverture par un éditeur qui prendra tous les droits.