L’erreur (scène 2).

Devenez coach littéraire d’un livre ! Participez à une expérience unique et collective. Chapitre par chapitre, j’ai commencé à publier ici un roman  et le modifierai  au fur et à mesure en tenant compte de vos avis qu’ils soient de détail ou d’ensemble, de forme ou de fond. Vous pourrez également lire les commentaires des autres participants et ainsi les comparer à votre propre ressenti. Mais attention, les prochaines scènes seront réservées exclusivement aux fidèles abonnés. Alors si le cœur vous  dit d’en être, vous pouvez déjà lire et commenter les 2 premières scènes et pour poursuivre l’aventure, abonnez-vous vite ! C’est gratuit et d’une grande simplicité.  (“L’erreur” est le titre provisoire de cette histoire. Nous trouverons le définitif ensemble

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Le concert

Revoyant par hasard ce film de 2019 « Le concert » , je me suis dépêché d’écouter à nouveau cette sonate pour retrouver « la grande harmonie ». Je vous donne un lien pour vous en faire également profiter si le cœur vous en dit. Grande sonate de Tchaïkovski Regardant les critiques journalistiques émises à la sortie du film, je m’amuse à voir que certains ont apprécié l’humour slave de la première moitié et pas du tout le côté mélo de la seconde et d’autres exactement inversement. Là, comme ailleurs, la vérité n’est que dans la nuance. Personnellement, j’ai ri volontiers à la première moitié et je me suis laissé émouvoir, sans honte, à la seconde. Le concerto lui-même y était évidemment  pour beaucoup.

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Voici que la saison décline

Voici que la saison décline, L’ombre grandit, l’azur décroît, Le vent fraîchit sur la colline, L’oiseau frissonne, l’herbe a froid. Août contre septembre lutte ; L’océan n’a plus d’alcyon ; Chaque jour perd une minute, Chaque aurore pleure un rayon. La mouche, comme prise au piège, Est immobile à mon plafond ; Et comme un blanc flocon de neige, Petit à petit, l’été fond. Victor Hugo Je vous recommande sur YouTube ce site où j’ai retrouvé ce poème : « La minute de poésie » .

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Dans les draps gris d’un après-midi.

(Humeur)… car, lorsque celui-ci m’a connue, je n’étais rien et n’avais rien, même plus le sommeil ni l’appétit, ni non plus l’envie de vivre, et bientôt plus de toit. Celui-ci m’a aimée avec ce rien que j’étais et que j’avais, il m’a soignée et il m’a sauvée. Et celui-là, quand il m’a connue, je n’étais pas grand-chose et n’avais pas grand-chose, à peine le sommeil et si peu le goût de vivre, et il m’a aimée avec ce peu que j’étais et que j’avais. Il m’a sauvée, et il a donné à ma vie le sens qu’elle n’avait pas qui me fait me lever matin. Un troisième m’a rêvée et, comme beaucoup avant lui, car ils sont innombrables, n’a pas

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L’erreur.

Ce texte est le début d’un roman dont le manuscrit dormait dans un tiroir depuis deux ans. Je vais essayer de le reprendre ici en tenant compte  au fur et à mesure de vos avis qu’ils soient de détail ou d’ensemble, de forme ou de fond. Mais attention, cette expérience collective sera pour les scènes suivantes réservée exclusivement aux fidèles abonnés. Alors si le cœur vous en dit d’en être, abonnez-vous vite! C’est gratuit et d’une grande simplicité.  « L’erreur » est le titre provisoire de cette histoire. Scène 1 Fin d’un après-midi de novembre. La pluie s’est arrêtée et un pâle soleil blanchâtre tente de s’immiscer entre deux gros nuages noirs et menaçants. Lucien Dugranpois sort de l’immeuble au 12 rue

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Automne

Il faut dire que tu es superbe. Fugace comme un coucher de soleil, tu illumines la Terre avant de nous offrir la nuit hivernale. Le portail féerique avant le chemin de neige et de glace… Automne, j’aime voir tourbillonner tes feuilles dans l’air du temps. C’est une exquise tristesse, un sentiment indéfinissable qui me ravit malgré moi. J’aime tes couleurs vives et tes lumières douces, de tant de beauté tu nous enveloppes, merci… Mais tes arbres se déplument si vite ! Un coup de vent, un peu de pluie et les pelouses se recouvrent de ton tapis d’Halloween. Pourquoi partir si vite ? Parce que l’hiver te botte les fesses ? Parce que sa majesté impériale désirerait installer ses quartiers

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Prélude d’automne

L’arbre se déshabille. Ses feuilles tombent, prélude d’un automne qui se prépare. Sa charpente de bois élancée intrigue et émerveille de ses formes recherchées. L’imagination se mêle à la folie, têtes et cornes se jetant dans l’aventure. L’arbre se déshabille sous la caresse des nuits plus longues et le regard moins tendre de la lune. Le soleil fuit cette misère, tandis que la force et la puissance de ses branches se dessinent à l’horizon. Elles arpentent le ciel qui rougit soudain en signe d’un gel annoncé. L’arbre se déshabille afin que l’hiver lui offre un voile blanc. Hollynx Entre 2000 et 2005 j’avais déjà créé un blog collectif appelé “Dparoles” dont j’avais imprimé tous les textes dans un livre- souvenir

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